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jmbarga

4 Citations Inspirantes de Grands Auteurs Africains Sur l’Écriture

October 3, 2020 by jmbarga

On en a tous besoin de temps en temps.

Un zeste d’énergie pour rester concentré ou pour reprendre une tâche prenante. Cela vaut pour le travail au bureau mais aussi pour la rédaction d’un post de blog, d’une nouvelle ou d’un roman.

Il peut être utile alors d’avoir à portée de main quelques citations stimulantes pour ne pas regarder la feuille blanche et l’ordinateur en ennemis jurés. J’ai rassemblé quelques citations d’auteurs que j’aime (ou que j’envisage de découvrir) pour ces instants où il faut continuer à rester ami-ami avec le stylo ou le clavier d’ordinateur. Trouver un sens au travail en cours. En attendant que la passion revienne carrément…

CHINUA ACHEBE – ECRIVEZ VOTRE HISTOIRE

« Si vous n’aimez pas l’histoire de quelqu’un, écrivez la vôtre. »

C’est vrai que dans cette citation, l’histoire pourrait revêtir plusieurs acceptions. Mais on privilégiera ici l’idée d’une œuvre de fiction. Qui n’a jamais été déçu de lire une histoire sur laquelle il a placé de nombreux espoirs à cause d’un résumé captivant, d’une présentation alléchante, du lieu mystérieux dans lequel elle se déroule ou des personnes avenants qu’on est sensé trouver dans les événements qui se succèdent ? A la lecture, les personnages sont peut-être là, on est emporté par le lieu, mais au final on est quand même déçu par la lecture. L’auteur n’a pas nécessairement délivré une suite d’événements insignifiants.

En fait, on attendait une autre histoire, celle qui nous aurait donné d’autres informations, procuré des émotions différentes et une autre vision du monde.

Parfois, il se peut aussi que le livre spécifique dont a besoin à un moment précis ne soit pas encore disponible, même si cela semble difficile à croire avec les myriades d’œuvres littéraires déjà produites à travers le monde.  

Dans un cas comme dans l’autre, il revient au lecteur insatisfait et frustré de combler les trous qu’il a décelés et d’écrire l’histoire qui n’existe pas encore, à moins de compléter les manquements constatés dans celle qui existent déjà. Car, si on a pu ressentir de la frustration pour une carence, c’est qu’on n’est pas seul. C’est donc l’occasion idéale de satisfaire tous ceux qui ont le même besoin, de façon consciente ou non. Stimulant, non ?

NGUGI WA THIONG’O – ECRIVEZ EN LANGUES LOCALES

« It was a revelation for me, in a practical sense, that you could write in an African language and still reach an audience beyond that language through the art of translation.»

L’écrivain choisit la langue dans laquelle il écrit. Cela fait partie de la palette d’outils dont il dispose pour s’exprimer, pour créer. Il opte pour la langue dans laquelle il s’exprime le mieux, ou celle qui pourra lui permettre de bien formuler l’histoire à raconter, compte tenu des contraintes qu’il s’est fixé. On a pu voir ainsi des écrivains passer d’une langue à une autre à un moment donné de leur vie artistique, sans doute parce que cela correspondait à un besoin ou à une nécessité.

Ngugi wa Thiong’o, l’auteur de la pensée, explique dans son livre Décoloniser l’esprit que ” c’est avant tout par la littérature écrite et la littérature orale qu’une langue transmet les représentations du monde dont elle est porteuse.” Dans ce contexte et pour le cas des Africains, il est logique que des auteurs qui ont grandi en utilisant leur langue maternelle puissent dire, présenter et représenter leur monde de façon naturelle dans cette langue. Ngugi, lui-même, écrit en anglais et en kikuyu. C’est un véritable encouragement pour les auteurs africains à tenter de plus en plus l’expérience d’une écriture en langues locales. Les œuvres produites seront ensuite traduites dans d’autres langues. Nul doute que de nombreux écrivains pourront trouver là toute l’énergie pour présenter une vision du monde forte directement puisée à la source de leur être et de leur héritage. 

SEMBENE OUSMANE – ECRIVEZ POUR DEFENDRE UNE CAUSE

«Tu aspires à devenir écrivain, tu n’en seras jamais un bon, tant que tu ne défendras pas une cause.» 

Avec cette réplique d’un personnage du Docker noir, On se plonge dans l’éternel débat entre les partisans de l’art pour l’art et ceux de l’art engagé. Dans le dernier cas, l’artiste de façon général et l’écrivain africain ne saurait donc seulement retranscrire le beau.  

Il est indéniable que l’on retrouve une force certaine en lisant des écrivains qui sont habités par une cause et qui la défendent dans leurs écrits, même si l’on se plonge généralement dans une œuvre de fiction pour l’histoire qui est racontée ou des personnages fascinants.

Le conseil et l’encouragement pour l’écrivain, c’est donc de se saisir d’une cause qui lui tient à cœur, avant même d’entamer le voyage de l’écriture qui peut être ardu à certaines occasions.

 C’est à cette condition qu’il trouvera les ressources pour se remettre encore et toujours au travail et délivrer un résultat abouti. Il est admis en effet que, dans le cadre de la rédaction d’une œuvre de fiction,  l’écrivain suivra parallèlement à ses personnages, un certain cheminement personnel.

MONGO BETI- ECRIVEZ POUR VOS SUCCESSEURS

“[…] je suis un écrivain africain, et ma mission historique est de préparer la voie aux écrivains africains mes successeurs, afin qu’ils puissent, eux, écrire librement et dans le bonheur.”

Mongo Beti est reconnu comme l’exemple-type de l’écrivain engagé. Un engagement qui s’inscrit dans une quête de liberté absolue pour l’Africain. Et, en droite ligne de ce combat, l’écrivain s’assigne dans l’extrait plus haut une mission sous-jacente : ouvrir la voie, déblayer le chemin aux générations futures d’écrivains africain. Ces futurs auteurs pourraient aborder des thématiques plus légères, plus “joyeuses” le cas échéant comme leurs congénères à travers le monde. Mais le préalable, pour le romancier africain, est de liquider à travers sa plume les divers “drames traversés par son peuple ces dernières décennies”.

En tant que l’un des pionniers des lettres africaines, Mongo Beti n’a pas, selon lui, eu d’autres choix que de s’attaquer à des thématiques comme l’aliénation culturelle ou le sort des résistants lors des luttes pour l’indépendance. L’évidence était d’écrire pour contester l’iniquité de l’ordre établi et travailler ainsi à l’avènement d’un monde meilleur.

C’est clair que cela fut une sorte de pari sur l’avenir. Aujourd’hui, les événements et la situation dans nos géographies donnent aux intuitions du visionnaire et à ses actions.

Pourquoi l’écrivain africain d’aujourd’hui ne trouverait-il pas dans les paroles de Mongo Beti ce petit boost qui pourrait lui faire défaut à certains moments ?

Qu’est-ce qui donne le plus de force et de motivation pour entamer ou poursuivre un travail d’écriture ? Un sujet passionnant, des modèles que l’on cherche à imiter ou la défense d’une cause qui tient à cœur. La liste est longue, c’est indéniable. On choisit les outils et les astuces qui permettent de s’atteler à la tâche avec passion et d’y revenir en cas coup de barre créatif. Certains grands auteurs africains peuvent aider avec leurs paroles fortes et leurs écrits énergisants.

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La Langue Est l’Un Des Vecteurs Les Plus Forts De Notre Identité Et De Notre Culture

September 19, 2020 by jmbarga

Vous venez de publier un recueil de nouvelles plusieurs années après votre dernier livre. Pourquoi cette longue parenthèse en dehors de l’écriture littéraire ?

La principale raison est que j’étais engagée dans d’autres projets très prenants mais où mon goût de l’écriture pouvait s’exprimer, même si c’était différemment. J’ai ainsi pu explorer tous les méandres de l’écriture journalistique et de la direction éditoriale à travers un magazine féminin et des sites Internet que j’avais mis sur pied. L’autre raison est que le monde de l’édition classique ne me convenait pas tout à fait. Ayant accompli le vœu de presque tout écrivain débutant (se faire éditer), disons que j’étais moins stressée et plus à même d’explorer d’autres voies.

Parlez-nous de votre dernier recueil de nouvelles Azania, et dites-nous comment vous décidez d’explorer des thématiques précises ou de choisir les personnages qui vont conduire vos histoires. 

« Azania » est un ensemble de 6 histoires, celles de femmes et des hommes (jeunes et moins jeunes) dans un moment critique de leur vie, joyeux ou non. Comment le vivent-ils et surtout, comment s’en sortent-ils ? Pour y répondre, j’ai voulu une certaine continuité dans le recueil déjà parce que toutes les histoires se déroulent en totalité ou en partie à Ongola Ewondo (Yaoundé). Ensuite parce qu’entre ces nouvelles, il existe des liens. Au lecteur de les trouver au fur et à mesure. Pour le choix des thématiques, il tient plus de l’intuitif, de ce que mon imagination a envie de mettre en avant à un instant T. La nouvelle éponyme est très parlante à ce sujet (Azania) en rassemblant tous les ingrédients du recueil : suspense, loyauté, trahison, confiance, espoir. J’aime cette possibilité que donne l’écriture de disséquer la psyché humaine via des situations de tous les jours. Pour le choix des personnages, si au début j’ai une idée assez claire, elle peut évoluer au cours de l’écriture et des personnages secondaires naître au détour d’une phrase, m’obligeant à les étoffer voire à prendre une autre direction que l’histoire de départ.

L’attachement à votre langue maternelle transparaît tout au long des histoires racontées. Avez-vous besoin de convoquer cette langue pour poser l’acte d’écrire ?

Pour moi, la langue est l’un des vecteurs les plus forts de notre identité et culture, et j’ai toujours été très attachée à la mienne, l’Ewondo. J’aime sa beauté, sa poésie, son humour. Elle fait partie intégrante de mon processus d’écriture. Lorsque par exemple je mets en mots mes personnages dans Ongola (Yaoundé), je les ai déjà fait vivre en Ewondo ! En fait je fais des allers-retour entre la langue Beti et le français, souvent je traduis juste la langue en français (rires). Mon plus grand désir (et défi) serait d’ailleurs d’écrire toute une fiction en Ewondo. En attendant, je le fais déjà dans mes textes poétiques, même si pour le moment je les distille à compte-gouttes (rires).  

On sent à la lecture de vos nouvelles que vous maîtrisez bien le genre. Quels sont les auteurs de nouvelles qui vous ont particulièrement marqués ? 

Merci de l’appréciation, car je ne me suis jamais considérée comme une spécialiste de la nouvelle. Côté auteurs, j’ai été plus marquée par des ouvrages que par un écrivain en particulier. Je peux citer Les Bimanes  du Camerounais Séverin Cécile Abéga. Ce recueil découvert au collège reste ma référence dans ce domaine. Côté occidental, étant assez portée sur la SF, j’ai un certain penchant pour les nouvelles d’auteurs comme Asimov dont j’adore tout autant les romans. J’aime sa simplicité d’écriture même en parlant de thèmes complexes.

Avez-vous des projets littéraires en cours ? 

En ce moment j’alterne entre l’écriture d’un recueil de poésie en Ewondo et en Français, et celle d’un roman… ou plutôt deux ! Et comme toujours, avec Yaoundé au centre, mais je ne peux en dire plus, patience.

Avec le recul que vous avez et vos diverses expériences, quel regard portez-vous sur l’écosystème littéraire au Cameroun aujourd’hui ? Des conseils pour les auteurs et les autrices compte tenu de ces enjeux ?

J’y vois les mêmes problèmes qu’ailleurs avec cette assertion récurrente : « les Africains ne lisent pas. » Mais, je n’adhère pas totalement à cette pensée. Lorsque je regarde la façon dont certains livres nous ont marqué (Les Bimanes, Trois prétendants, un mari, etc.), je refuse de croire que la lecture d’oeuvres de fiction nous soient aussi pénibles ou indifférentes qu’on s’obstine à le croire. Je pense que les gens ont besoin d’histoires qui les touchent profondément. Aussi, si conseils à donner aux auteurs et autrices, c’est d’être soi. C’est d’écrire pour (se) raconter et non pour coller à certaines attentes du marché généralement extérieur. Et pour cela, mettre en avant sa singularité avec des histoires singulières. Surtout, aujourd’hui, les nouveaux modes de communication nous donnent l’occasion d’innover, et trouver ainsi des solutions à l’enjeu de la distribution, qui est aussi très important. Je reste convaincu que si marché à développer, c’est d’abord le marché intérieur. Les Africains doivent d’abord écrire pour eux-mêmes.

Retrouvez les ouvrages et l’univers de MINSILI ZANGA sur son site web et sur ses comptes social media :

Site Web/Ouvrages : http://minsilizanga.com/publications

Instagram/Twitter : Minsilizanga

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3 Auteurs de Nouvelles Qui m’Ont Fait Adorer le Genre

September 11, 2020 by jmbarga

Je l’avoue.

J’ai toujours été fasciné autant par les œuvres que les auteurs et les autrices au point de me demander parfois ce qui m’a initialement le plus enchanté dans la littérature.

Les grands auteurs sont auréolés d’un mystérieux halo qui pousse à vouloir en savoir toujours plus sur leur vie. Cette curiosité est encore plus prégnante lorsqu’on aime les écrits de l’illustre personne.  

Avant de commencer à rédiger des nouvelles, j’ai découvert le plaisir de ce genre chez de grands auteurs, chacun avec sa particularité, son univers.  

Je ne pourrai évoquer les nouvelles ou les recueils qui m’ont marqué il y a quelques années déjà sans penser aux auteurs et parfois aux contextes des lectures.

Sévérin Cécil Abéga

« Du haut de son baccalauréat, Dany toisa le village… » Voilà le bout de phrase qui me vient  invariablement à l’esprit lorsque je souviens de la lecture au collège Vogt du recueil de nouvelles de Séverin Cécil Abéga intitulé ‘Les bimanes’. L’extrait est celui de la nouvelle intitulée « Dans la forêt ».

Aujourd’hui, comme mes camarades de l’époque, je peux me représenter notre prof de français, un frère canadien avec qui nous étudiions l’œuvre. Au moment de lire ou de commenter le texte, le religieux ajustait ses lunettes, levait le bras haut de manière à bien nous montrer à partir de quelle hauteur le nouveau bachelier arrivait dans son village.

De nombreuses années après cette lecture scolaire des Bimanes et des relectures en dehors du cadre des études, j’ai eu l’occasion d’apercevoir souvent l’auteur à l’Université Catholique d’Afrique Centrale où je m’étais inscrit pour préparer un master en Développement et Management des Projets (bon, nous disions DESS à l’époque, et nous nous prenions bien au sérieux vu que nous devions aller dans les villages promouvoir le développement… du haut de notre diplôme…)  

Passant ou repassant devant une salle de cours, je voyais le professeur entretenir ses étudiants le plus sérieusement du monde. Quant à moi, je guettais vers la salle, l’oreille à l’affût d’une blague, d’une histoire drôle de la même veine que celles que j’avais lues et relues dans le fameux recueil de nouvelles. Au bout de six mois passés à Nkolbisson, je dus m’en aller hélas sans avoir demandé à l’icône des lettres l’un de ses secrets pour devenir moi aussi un virtuose de l’humour.

J’ai adoré : ‘Dans la forêt’ du recueil Les bimanes

Isaac Bachevis Singer

J’ai découvert cet auteur pendant mes études à l’Université de Yaoundé 2 à Soa (non, ce n’était pas des études littéraires). À côté des enseignements fascinants des profs Georges Ngango en micro-économie ou Touna Mama en histoire de la pensée économique, j’avais décidé de m’intéresser à des écrivains renommés qui avaient publié des recueils de nouvelles.

Entre les différents centres culturels de la ville de Yaoundé et les librairies du poteau, je tombai assez vite sur le recueil ‘Yentl et autres nouvelles’ d’Isaac Bachevis Singer. Ce fut une plongée dans un monde captivant. Comme beaucoup de recueils de nouvelles, le livre n’était pas bien volumineux, mais je pense bien avoir faussé compagnie à mes camarades un midi au moment d’aller manger notre traditionnel plat d’okock dans l’un des nombreux tournedos en face du campus.  

J’avais sous les yeux et dans la tête un univers complet avec ses codes et ses rites, ses superstitions, et comme dans toute société, des individus particuliers qui essayaient de se frayer leur chemin, d’écrire leur propre histoire et d’échapper à l’emprise de la société.

Ce n’était pas à l’époque du tout Internet avec la possibilité de googliser en un clic. Mais je me débrouillai bien pour trouver d’autres informations sur l’auteur Isaac Bashevis Singer, un Juif polonais qui avait ensuite émigré aux Etats Unis.

Il me plut en tout cas d’entrer dans ce monde bien part dans l’espace et dans le temps, présenté par un auteur plein de finesse.

J’ai adoré : Yentl dans le recueil ‘Yentl et autres histoires’

Ernest Hemingway

Une des choses les plus frappantes pour moi lorsque je me mis à lire les nouvelles d’Hemingway, ce fut un sentiment de proximité avec certaines histoires.

Je pouvais transposer quelques scènes dans des lieux que je connaissais bien. Dans certains décors, le soleil, ses rayons drus et l’embrasement qui en résultait pouvait tout aussi me rappeler un quartier de Yaoundé en plein midi. Au fil des pages, le style paraissait simple et précis et, grâce aux dialogues notamment, les personnages demeuraient vivants tout au long des histoires.

Hemingway a appliqué sa fameuse théorie de l’iceberg à ses écrits, aux nouvelles en particulier. Dans une histoire donc, on ne verrait à la surface que dix pour-cent de ce qui se passe. Tout le reste est omis et le lecteur devine ce qui n’est pas visible. Chez Hemingway, même avec cette économie de mots, les personnages, les paysages et les situations restent vivants et tout cela continue à s’animer en nous, même après la lecture.

Lorsque j’ai commencé à écrire mes premières nouvelles à l’Université de Soa, j’avais sur ma table de travail les dix conseils d’Hemingway aux jeunes écrivains. Avec le temps, je pense que j’y ai trouvé un encouragement à continuer à lire et à écrire.

J’ai adoré : ‘Les tueurs’ dans le recueil Hommes sans femmes

Évidemment, il y a d’autres auteurs de nouvelles qui m’ont bien captivé à l’instar d’Anton Tchekhov et Raymond Carver, ce dernier étant lui-même un fervent admirateur du premier. Car c’est bien là la petite magie de la littérature. On entre dans l’œuvre d’un auteur puis on en découvre beaucoup d’autres dans une espèce de joyeux labyrinthe. Le narrateur du récit ‘La bibliothèque de Babel’ du grand nouvelliste Jorge Luis Borges ne dit-il pas : « J’affirme que la bibliothèque est interminable » ?

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